Les sénateurs ont décidé samedi soir de reporter au 15 novembre la séance d'interpellation du ministre de la justice Josué Pierre-Louis et du secrétaire d'état aux Affaires étrangères Pierre Michel Brunache dans le cadre de l'affaire concernant l'arrestation du député Arnel Bélizaire.
Deux commissions de parlementaires ont été formées à la fin de la séance débutée aux environs de 10H00 AM samedi pour s'achever 12 heures plus tard sans avoir reçu les deux membres du gouvernement qui ont été interpellés.
Une commission de 3 sénateurs est chargée par le bureau du grand corps de reformuler les motifs de l'interpellation des deux membres du gouvernement et une autre de 5 membres doit enquêter sur les événements qui avaient conduit à l'interpellation du député Arnel Bélizaire.
Lors de l'audition des membres du Conseil supérieur de la police nationale, le directeur général de la PNH avait révélé un peu plus tôt samedi que l'ordre de conduire le député Bélizaire au pénitencier national a été donné par le ministre de la justice.
Cependant, Me Pierre-Louis n'a pas eu le temps d'apporter sa version des faits.
Interrogé par les sénateurs, le Premier ministre a annoncé l'ouverture d'une enquête pour faire la lumière sur l'arrestation du parlementaire reconnaissant publiquement qu'il avait "dérive" dans cette affaire.
Une commission de 3 sénateurs est chargée par le bureau du grand corps de reformuler les motifs de l'interpellation des deux membres du gouvernement et une autre de 5 membres doit enquêter sur les événements qui avaient conduit à l'interpellation du député Arnel Bélizaire.
Lors de l'audition des membres du Conseil supérieur de la police nationale, le directeur général de la PNH avait révélé un peu plus tôt samedi que l'ordre de conduire le député Bélizaire au pénitencier national a été donné par le ministre de la justice.
Cependant, Me Pierre-Louis n'a pas eu le temps d'apporter sa version des faits.
Interrogé par les sénateurs, le Premier ministre a annoncé l'ouverture d'une enquête pour faire la lumière sur l'arrestation du parlementaire reconnaissant publiquement qu'il avait "dérive" dans cette affaire.
HPN
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