Le ministre sortant de la justice et
de la sécurité publique, Paul Denis, a définitivement quitté son poste
où l’intérim est désormais assuré par le Premier ministre
démissionnaire, Jean-Max Bellerive, et l’ex-directeur général de
l’institution, Josué Pierre-Louis, qui l’assiste à titre de "chargé de
mission".
Les deux hommes se sont rendus mardi après-midi au ministère pour une prise de fonction symbolique à laquelle la presse n’a pas été invitée.
Conseiller du Président Michel Martelly, M. Pierre-Louis est régulièrement cité parmi les candidats en lice pour le portefeuille de la justice et de la sécurité publique dans la perspective de la formation du prochain gouvernement.
Dans sa lettre de démission remise à Jean-Max Bellerive, Paul Denis a avancé des raisons de "convenance personnelle" pour justifier sa décision de cesser de liquider les affaires courantes.
Ce retrait est intervenu le jour même où l’ancien ministre et homme fort de l’ex-parti au pouvoir INITE devait répondre à une convocation de la commission justice et sécurité publique du Sénat. Il était appelé à expliquer le comportement jugé suspect des commissaires du gouvernement qui, pour certains, se seraient livrés, ces derniers temps, à des actes répréhensibles dans l’exercice de leurs fonctions.
Finalement, seul le directeur général de la Police Nationale, Mario Andrésol, également convoqué, s’est présenté au Sénat.
spp/ Radio Kiskeya
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Les deux hommes se sont rendus mardi après-midi au ministère pour une prise de fonction symbolique à laquelle la presse n’a pas été invitée.
Conseiller du Président Michel Martelly, M. Pierre-Louis est régulièrement cité parmi les candidats en lice pour le portefeuille de la justice et de la sécurité publique dans la perspective de la formation du prochain gouvernement.
Dans sa lettre de démission remise à Jean-Max Bellerive, Paul Denis a avancé des raisons de "convenance personnelle" pour justifier sa décision de cesser de liquider les affaires courantes.
Ce retrait est intervenu le jour même où l’ancien ministre et homme fort de l’ex-parti au pouvoir INITE devait répondre à une convocation de la commission justice et sécurité publique du Sénat. Il était appelé à expliquer le comportement jugé suspect des commissaires du gouvernement qui, pour certains, se seraient livrés, ces derniers temps, à des actes répréhensibles dans l’exercice de leurs fonctions.
Finalement, seul le directeur général de la Police Nationale, Mario Andrésol, également convoqué, s’est présenté au Sénat.
spp/ Radio Kiskeya
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